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3 octobre 2011 1 03 /10 /octobre /2011 10:14

 


 
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1 octobre 2011 6 01 /10 /octobre /2011 16:24

Ce poème de Victor Hugo sonne comme une ultime profession de foi déclamée juste avant de mourir, son chant du cygne en quelque sorte.

Vous noterez le dernier distique qui révèle la philosophie des VET et saisirez aisément le délai qu'il a fallu au poète romantique pour en arriver là où, très jeune, Jean-Claude Pantel avait déjà mis les pieds : A savoir sur le seuil des cimetières.

D'où éventuellement la médiocrité de l'exilé de Guernesey soulignée par l'Entité Jigor.

 

À THÉOPHILE GAUTIER


Ami, poète, esprit, tu fuis notre nuit noire.
Tu sors de nos rumeurs pour entrer dans la gloire;
Et désormais ton nom rayonne aux purs sommets. 
Moi qui t'ai connu jeune et beau, moi qui t'aimais, 
Moi qui, plus d'une fois, dans nos altiers coups d'aile, 
Éperdu, m'appuyais sur ton âme fidèle,
Moi, blanchi par les jours sur ma tête neigeant, 
Je me souviens des temps écoulés, et songeant 
A ce jeune passé qui vit nos deux aurores, 
A la lutte, à l'orage, aux arènes sonores,
A l'art nouveau qui s'offre, au peuple criant oui, 
J'écoute ce grand vent sublime évanoui. 

Fils de la Grèce antique et de la jeune France, 
Ton fier respect des morts fut rempli d'espérance; 
Jamais tu ne fermas les yeux à l'avenir.
Mage à Thèbes, druide au pied du noir menhir,
Flamine aux bords du Tibre et brahme aux bords du Gange, 
Mettant sur l'arc du dieu la flèche de l'archange, 
D'Achille et de Roland hantant les deux chevets, 
Forgeur mystérieux et puissant, tu savais 
Tordre tous les rayons dans une seule flamme; 
Le couchant rencontrait l'aurore dans ton âme; 
Hier croisait demain dans ton fécond cerveau; 
Tu sacrais le vieil art aïeul de l'art nouveau; 
Tu comprenais qu'il faut, lorsqu'une âme inconnue 
Parle au peuple, envolée en éclairs dans la nue, 
L'écouter, l'accepter; l'aimer, ouvrir les coeurs; 
Calme, tu dédaignais l'effort vil des moqueurs 
Écumant sur Eschyle et bavant sur Shakspeare; 
Tu savais que ce siècle a son air qu'il respire, 
Et que, l'art ne marchant qu'en se transfigurant, 
C'est embellir le beau que d'y  joindre  le grand. 
Et l'on t'a vu pousser d'illustres cris de joie 
Quand le Drame a saisi Paris comme une proie, 
Quand l'antique hiver fut chassé par Floréal, 
Quand l'astre inattendu du moderne idéal 
Est venu tout à coup, dans le ciel qui s'embrase 
Luire, et quand l'Hippogriffe a relayé Pégase!

Je te salue au seuil sévère du tombeau.
Va chercher le vrai, toi qui sus trouver le beau. 
Monte l'âpre escalier. Du haut des sombres marches, 
Du noir pont de l'abîme on entrevoit les arches; 
Va! meurs! la dernière heure est le dernier degré. 
Pars, aigle, tu vas voir des gouffres à ton gré; 
Tu vas voir l'absolu, le réel, le sublime.
Tu vas sentir le vent sinistre de la cime
Et l'éblouissement du prodige éternel.
Ton olympe, tu vas le voir du haut du ciel,
Tu vas du haut du vrai voir l'humaine chimère, 
Même celle de Job, même celle d'Homère, 
Ame, et du haut de Dieu tu vas voir Jéhovah. 
Monte, esprit! Grandis, plane, ouvre tes ailes, va!

Lorsqu'un vivant nous quitte, ému, je le contemple; 
Car entrer dans la mort, c'est entrer dans le temple 
Et quand un homme meurt, je vois distinctement 
Dans son ascension mon propre avènement. 
Ami, je sens du sort la sombre plénitude; 
J'ai commencé la mort par de la solitude, 
Je vois mon profond soir vaguement s'étoiler;
Voici l'heure où je vais, aussi moi, m'en aller.
Mon fil trop long frissonne et touche presque au glaive; 
Le vent qui t'emporta doucement me soulève, 
Et je vais suivre ceux qui m'aimaient, moi, banni. 
Leur oeil fixe m'attire au fond de l'infini. 
J'y cours. Ne fermez pas la porte funéraire.

Passons; car c'est la loi; nul ne peut s'y soustraire; 
Tout penche; et ce grand siècle avec tous ses rayons 
Entre en cette ombre immense où pâles nous fuyons. 
Oh! quel farouche bruit font dans le crépuscule
Les chênes qu'on abat pour le bûcher d'Hercule! 
Les chevaux de la mort se mettent à hennir, 
Et sont joyeux, car l'âge éclatant va finir;
Ce siècle altier qui sut dompter le vent contraire, 
Expire ô Gautier! toi, leur égal et leur frère, 
Tu pars après Dumas, Lamartine et Musset. 
L'onde antique est tarie où l'on rajeunissait;
Comme il n'est plus de Styx il n'est plus de Jouvence. 
Le dur faucheur avec sa large lame avance 
Pensif et pas à pas vers le reste du blé;
C'est mon tour; et la nuit emplit mon oeil troublé 
Qui, devinant, hélas, l'avenir des colombes, 
Pleure sur des berceaux et sourit à des tombes. 

V. H. 2 novembre 1872. Jour des Morts. (Toute la Lyre).

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28 septembre 2011 3 28 /09 /septembre /2011 16:33

Contrairement à notre espèce, on se doute bien que les VET exercent leur praxie en marge du cogito.


Ainsi en va-t-il de même pour l’Équation Perpétuée agencée autour de Jean-Claude Pantel.

 

Alors que la « concernée » évoquée dans le Texte de Jadöpher daté du 27 Août 2007 tourne le dos à l’affaire Pantel depuis bien des années déjà, une forme de rémanence pousse nos visiteurs de l’Espace-temps à réinvestir un échange qui ne cessa jamais d’être instauré par leurs soins.

 

Bercé par les voix sulfureuses du doute, le cogito plonge rejoindre les Sirènes de l’infamie. Mais tel Ulysse attaché à son mât, le Ressenti, le regard rivé sur son unique cap,  dédaigne trahir sa cause et trace son sillage en direction du Beau Illimité.

 

T.Jadopher.jpg

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27 septembre 2011 2 27 /09 /septembre /2011 18:20

« De raisonnement(s) en résonance(s)… (1) »


Certains auront peut-être tiqué en lisant ou en écoutant ce vers de la chanson La Pensée qui fait partie de la comédie musicale Le Voyageur de l’Orage, lui rétorquant vite qu'en matière de référence la Chose se voit visitée en fonction de la réversibilité des valeurs qu’implique le phénomène vibratoire de la Pensée, lequel précède chronologiquement le réflexif du penser, et non le contraire.


En d’autres termes, que la Pensée résonne bien avant que le penser ne raisonne à son tour.


Effectivement, et c’est pourquoi le « schéma ipséitaire » prit dans cette strophe le pas sur le « schème aséitaire », comme pour mieux stigmatiser hélas l’emprise matérielle du cogito par rapport au double pôle (Semi-conscient/Inconscient) que l’Esprit lui appose dans cette ambivalence État/fonction que nos présences ici-bas identifient provisoirement.


Une illustration parfaite de ce délai s’instaurant entre Pensée et penser fut révélé jadis à Jantel par le moyen d’un exemple très simple.


Nous sommes à Pourrières, dans l’ancien domicile de Jean-Claude Pantel.


Deux chats accoutumés des lieux se distinguent particulièrement par leur caractère opposé. L’un, plutôt casanier, préfère rester des journées entières affalé sur le canapé. L’autre, au contraire, est un aventurier qui passe son temps dans le jardin à courir, à chercher querelle aux autres felinae, et à chasser n’importe quel petit gibier à portée de ses griffes.


Mais ce dernier vient bientôt à mourir.


Dès lors, Jean-Claude ne tarde pas à s’apercevoir d’une bizarrerie soudaine : L’autre chat, le sédentaire, a brusquement changé de comportement, adoptant les us nomades de son feu semblable, sorti dès l’aube levé pour ne revenir que très tard la nuit, après une journée bien remplie à faire les « quatre cents coups », le corps portant moult traces de griffures et de morsures, non sans ramener la plupart du temps une proie serrée dans sa gueule.


Un matin, alors que notre chat redevenu sauvage s’empresse d’aller se dégourdir les pattes, le téléphone sonne. La Voix d’un Semi-Géométrisé se fait entendre. Elle lui révèle alors ce qui ne figure rien d’autre qu’une « énième équivalence dans la valeur de remplacement ».


L’Onde s’est ainsi reflétée dans le miroir bien avant que Jean-Claude ne soit conscient (2) du transfert ambiant opéré par  « emprunt » d’un couloir Transductionnel rendu vacant, mais demeuré à l’état de rémanences.


Chat alors !

 



(1)  « Elle qui sait,
De raisonnement(s) en résonance(s),
Harmoniser l'ambivalence
De nos sporadiques présences... » (La Pensée, VDO, Jean-Claude Pantel).

 

(2) J’ai vécu peu ou prou le même phénomène par le biais du chien et du chat de mon voisin. En effet, son berger allemand quittait tous les jours le logis vide de son maître qui travaillait, pour venir chercher notre compagnie. Jusqu’au jour où ce voisin déménagea à quelques kilomètres de là. Alors que nous nous attendions à ce que Romy (C’était son nom) fasse ses fugues comme à l’accoutumée, quelle ne fut pas notre surprise de voir que c’était le chat qui l’avait remplacée dans cet exil systématique.

 

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26 septembre 2011 1 26 /09 /septembre /2011 09:16

Par pudeur, voire par pudibonderie, Jean-Claude Pantel se refuse parfois à transmettre à un large public certains Textes parlant par trop de sa personne.


Ce Texte daté du 21 Août 2007 révèle l’extrême radioactivité émanant de Jean-Claude Pantel au sortir de ses séquences isolatrices, durant lesquelles l’Entité Jigor évacue chez son « patient » un maximum de la lumière passive accumulée par son Reçu au prorata de nouveaux afflux de Lumière Active attendus.


Pour des personnes subissant des thérapies lourdes, la manipulation s’avère très dangereuse notamment sur le plan gazeux où, en sus de ce que développa quelque peu Jean-Claude Pantel dans son œuvre romancée du prisme biologique de la respiration, se sur-imprime aux hématoses internes l’épanchement de corpuscules radioactifs dont font vraisemblablement partie les particules alpha (Noyaux d’hélium).


Bien entendu qu’une grande partie du spectre électromagnétique participe à ce phénomène particulier de radiation jusqu’à des niveaux de fréquences « inaudibles » à l’entendement humain et à son « écoute » purement scientifique.

 

 

Karzenstein-21-aout-2007.jpg

 

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24 septembre 2011 6 24 /09 /septembre /2011 18:20

Devant l’empressement oppressif du doute accaparant une partie de son entourage qui lui demandait si oui ou si non les Voix des VET, celle de Karzenstein entre autres, résultaient du fruit d’un travail d’imitateur de sa part, Jean-Claude Pantel lui fournit une réponse affirmative par le biais de cette assertion sans détour :


« Oui, puisque vous le pensez, alors c’est bien moi… »


Outre le fait que Jean-Claude ne dérogea pas à sa règle de conduite cherchant à ne pas nuire à autrui et à le contenter en fonction de ses capacités à « accepter l’inacceptable » (VET), je ne peux m’empêcher aujourd’hui de voir dans cet aveu fugitif le délestage soudain du fardeau oppressant  porté par celui que par trop d’hommes considérèrent hélas comme un phénomène de foire parce que la nature avait fait du lui un « Monstre » à part.


A l’image de John Merrick (1), « l’homme éléphant », qui se donne la mort par asphyxie en se couchant sur le dos pour la seule et unique fois de sa vie afin de s’endormir comme un « homme normal »,  Jean-Claude Pantel, pour la première fois de son existence,  put, par cette intime confession, se sentir enfin comme un vulgaire être humain.


Oui, à l’image de l'anomal John Merrick qui, dans l’incapacité de respirer en position allongée et de se redresser seul à cause du poids énorme de sa tête, ne peut absolument pas dormir la nuit dans son lit, l'esprit tranquille, sur ses deux oreilles, pour goûter les joies réparatrices d’un repos mérité et remplir à fond ses poumons des tiédeurs de notre bon air ambiant, la position d’inconfort adopté par Jean-Claude Pantel, en raison d’une démesure cérébrale et d’une étouffante vocation, a trouvé lors d'un rare instant d'accalmie propice à quelque « confidence » lâchée du bout des lèvres, l’occasion rêvée de nous dire en fin de compte, douce somnolence  : « Je suis comme vous ».


Une sizaine d’années après cette triste « péripétie » ayant chamboulé l’aventure Pantel sans pour autant l’ébouler, jeter la pierre à qui que ce soit reviendrait à une entreprise lâche, laquelle, même si elle peut à la rigueur nous offrir les bienfaits d’un bref défoulement, de nous dédouanera pas de toute façon de la responsabilité commune qui nous incombe tous dans le virage pris par Desmodromie actuelle.


Seulement, la bonne et brave populace se rassure comme elle peut pour faire définitivement disparaître de sa vue l’intelligence hors norme qui rétorqua un jour aux aveugles prétentions de sa séduisante banalité que la véritable sensibilité se doit d’ôter tout masque pour exposer à nu le visage de l’acceptation rendu difforme à force de ressasser à tout-va et à qui veut bien l'entendre que les Ténèbres sont Lumières.

 


 

(1) Elephant Man (The Elephant Man), film américain (réalisé par David Lynch, 1980).

 


 

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23 septembre 2011 5 23 /09 /septembre /2011 16:07

Dès l'année 1974, l'Entité Gigor avait prévenu Jean-Claude Pantel de la muabilité de la Vitesse de la Lumière en ces termes (1)


« - La vitesse de la lumière n’est pas constante, tel que votre monde scientifique vous a appelés à le croire… »  


Presque quarante ans après, la communauté scientifique peine toujours à remettre véritablement en cause ce pseudo invariant relativiste défendu par certains travaux d'Albert Einstein.

 

Au sein de mondes où les subventions ne se distribuent qu'en fonction d’une stricte obéissance idéologique à de très hautes autorités, chacun comprendra que tout éventuel écart de conduite, par rapport la droite ligne à adopter, serait sanctionné automatiquement par une logique éviction…

 

Ainsi en va-t-il des chaires occupées dans les grandes universités comme des postes de chercheur pourvus parmi d’éminents centres de recherche.

 

On ne touche pas impunément au maître.

 

L’involution nous étant autant acquise que promise dans cette course aux ténèbres que nous entreprenons et entretenons depuis des millénaires, l’heure n’est pas à tenter d'expliquer ce qu’implique une telle révolution dans la marche des idées neuves.

 

La seule leçon à retenir pour l’instant à propos de la Variation de la Vitesse-Lumière, enseignée par Magloow (2) le 26 novembre 2006, est qu’elle détermine les qualités fondamentales transmises à la forme (matière) dont le « trialisme » omnipotent, si l’on lit attentivement une des tirades Karzensteiniennes (3) tirée du texte de Juin 1999, se décompose principalement en sons, formes (aspect) et couleurs.

 

Une découverte fondamentale vient d’avoir lieu au sein du CERN, où une équipe du laboratoire européen réussit à chronométrer une particule énergétique appelée neutrino à une vitesse superluminique.

 

Certes, le neutrino n’est pas le photon, ce grain corpusculaire qui, contrairement à ce qu’affirme la cosmologie moderne, n’identifie pas à lui seul la Lumière, mais tous les fermions (4), à l’image du neutrino, étant considérés à tort comme des Bradyons, on peut imaginer sans peine les vélocités totalement démesurées que peuvent entretenir ne serait-ce que les bosons (5), caricaturés faussement en luxon, lorsqu’ils se « lâchent » en pleine course dans ces couloirs auxquels les hommes n’auront jamais accès.

 

Dans tous les cas de figure, une certitude se dessine d’ores et déjà : Au nom du principe de Fusion Constante établi magistralement par les VET, le catégoriel différencié que la physique quantique concède aux régimes particulaires en tant que Bradyon (ou Tardyon) / Luxon / Tachyon, pour déterminer des célérités inférieures, égales, voire supérieures à la lumière, n’aura plus cours bientôt.

 

Je conclurai en citant un extrait de sonnet récité par La Pensée dans le 17ème tableau de la première époque du Voyageur de l’Orage écrit par jean-Claude Pantel :

 

« Qu’importe au Mystère d’où est issue la Vie ?

Vos notions de physique et de philosophie ?

Tout s’exprime en les Cycles, loin de votre savoir… 

Un plus d’humilité pour un peu moins de peur :
Si ce n’est qu’un voeu pieux, il arrive à son heure,
Afin de s’adonner à l’insatiable espoir... »

 

 

 


 

(1) Jean-Claude Pantel, Les Visiteurs de l’Espace-temps, Tome I, L’Initiation, Chapitre 18 :

 

http://jantel-les-vet1.over-blog.com/pages/chapitre-18-4389384.html


(2) Magloow : « Si la vitesse de la lumière était constante, il n’y aurait pas de variation(s) dans les formes » (26 Novembre 1998).

 

(3) Karzenstein, 23 Juin 1999 « Donc, à des périodes différentes, nous avons agi en sorte que vous saisissiez que couleurs, formes et sons n’existaient en leur diversité qu’en raison de la variation de la vitesse de la lumière qui, ainsi que vous l’aurez déduit, ne configure rien d’autre que la vitesse des flux directionnels. »

 

4) les fermions sont les constituants fondamentaux de la matière, dont les principaux représentants sont le quark (Neutron et proton), l’électron et le neutrino (Entre autres).

 

5) Les bosons sont les particules intermédiaires ou médiatrices des forces fondamentales. 4 forces fondamentales déterminent quatre particules :

 

Force électromagnétique> Photon ;

Force gravitationnelle > Graviton (Hypothétique) ;

Force nucléaire faible > Bosons Z0, W- et W+ ;

Force nucléaire forte > Gluon.

 

 


 

 

Texte extrait de : http://www.lejdd.fr/Societe/Sciences/Actualite/Une-equipe-du-Cern-a-mesure-des-particules-allant-plus-vite-que-la-lumiere-394233/?sitemapnews

 

Et si Einstein s'était trompé?

Plus vite que la lumière? Impossible! répondait-on depuis 1905 et les travaux d'Albert Einstein. Depuis vendredi matin, on sait que cette affirmation est peut-être fausse : une équipe du laboratoire européen du Cern a mesuré des particules allant plus vite que la lumière. Le début d'une révolution en physique?


Les physiciens eux-même ont du mal à comprendre ce qui leur arrive. Depuis plus d'un siècle, ils se basent sur les découvertes d'Albert Einstein - les théories de la relativité restreinte et de la relativité générale - pour décrire notre univers et il faudra peut-être tout reprendre à zéro.

 

En effet, l'expérience internationale Opera, située entre la Suisse et l'Italie et dont les conclusions ont été publiées vendredi matin, a mis en défaut une partie des conclusions du célèbre scientifique : ils ont trouvé des particules dépassant la vitesse de la lumière, une "limite infranchissable" selon les théories d'Einstein.

 

Les chercheurs ont projeté des particules à très hautes vitesses dans un accélérateur de particules situé à Genève et ont mesuré leur vitesse sur les 730 km qui séparent (à travers l'écorce terrestre) la ville suisse du laboratoire souterrain de Gran Sasso (Italie).

 

Résultat, des neutrinos, particules élémentaires de la matière très légères, ont été chronométrés avec une avance sur la vitesse de la lumière de 60 nanosecondes (60 milliardièmes de seconde), soit 20 mètres d'avance.

Pourquoi 20 mètres d'avance sur la lumière pourraient révolutionner la physique et notre perception du monde?


Car sur une seconde, la différence se porte à 6.000 km.

 

Les neutrinos ont donc été flashés à 300.006 km/s quand la lumière fonce à 300.000 km/s (299.792,458 km/s pour être précis). Aussi car depuis 1905, de nombreuses expériences ont confirmé les théories d'Albert Einstein et celles-ci sont le fondement de la physique fondamentale actuelle. Un édifice patiemment construit pendant un siècle est peut-être en train de s'écrouler.

 

Pour Einstein, la vitesse de la lumière est une constante indépassable, calculée à 300.000 km/s indépendamment de l'état de mouvement de l'observateur. Et elle sert dans de nombreux calculs, comme la célèbre formule E = mc2, où c représente la vitesse de lumière.

"Ça ouvre de nouveaux champs"

Pour autant, comment être sûr que les chercheurs du Cern ne se sont pas trompés? Leurs résultats sont tellement étonnants qu'ils ont répété de nombreuses fois leurs expériences. Pendant trois ans, ils ont accumulé les observations et les données.

 

Leur marge d'erreur est de 10 nanosecondes et ne joue donc pas sur le résultat final. "Je ne m'attendais pas du tout à ça, on a passé six mois à refaire tout de zéro", a expliqué jeudi à des journalistes Dario Autiero, chercheur à l'Institut de physique nucléaire de Lyon et responsable de l'analyse des mesures d'Opera.

 

Et c'est toute la communauté scientifique qui a scruté et passé au microscope les conclusions du laboratoire Italien. Recalibrage des instruments de mesures par les plus grands experts indépendants, vérification des relevés topographiques, du tunnel à particules... même la dérive des continents et le séisme dévastateur de L'Aquila ont été pris en compte.

 

"De longs mois de recherche et de vérifications ne nous ont pas permis d'identifier un effet instrumental expliquant le résultat de nos mesures", assure le porte-parole de l'expérience Opera, Antonio Ereditato.

 

Tout le monde semble d'accord, les neutrinos ont bien franchi l'écorce terrestre à une vitesse supérieure à celle de la lumière.


"Compte tenu de l'énorme impact qu'un tel résultat pourrait avoir pour la physique, des mesures indépendantes s'avèrent nécessaires afin que l'effet observé puisse être réfuté ou bien formellement établi", souligne cependant le CNRS, qui se veut très prudent.

 

"C'est pourquoi les chercheurs de la collaboration Opera ont souhaité ouvrir ce résultat à un examen plus large de la part de la communauté des physiciens" et l'ont publié, ajoute l'organisme français. En clair, le résultat est si étonnant que les expériences vont être reproduites. Et si tout est confirmé, les physiciens vont devoir se mettre à travailler dur pour trouver de nouveaux modèles.


Pour Pierre Binetruy, directeur du Laboratoire Astroparticules et cosmologie à Paris, cela peut vouloir dire que "des particules ont trouvé un raccourci dans une autre dimension", et donc qu'il existerait dans l'univers davantage que les quatre dimensions (les trois dimensions dans l'espace auxquelles s'ajoute celle du temps).

 

"Il se peut aussi que la vitesse de la lumière ne soit pas la vitesse limite", estime-t-il, tout en soulignant que le record battu par le neutrino ne signifierait pas forcément "qu'Einstein s'est trompé".

 

"Einstein n'a pas prouvé que Newton avait tort, il a trouvé une théorie plus générale" qui s'est superposée à celle de Newton, qui fonctionne toujours très bien pour des objets de tailles importantes et à des vitesses pas trop rapides.

 

De la même manière, la trouvaille d'Opera pourrait signifier que la théorie d'Einstein "est valable dans certains domaines mais qu'il existe une théorie encore plus globale, comme des poupées russes (...) ça ouvre de nouveaux champs", ajoute Pierre Binetruy.

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22 septembre 2011 4 22 /09 /septembre /2011 17:19

 

Comme le martèle cet extrait de la chanson "Entre Existence et Vie" de Jean-Claude Pantel (VDO) :

 

Mon pauvre "cogito",

Ma raison, mon credo...


nul ne serait jamais prendre vraiment conscience à quel point le cogito de notre Espèce se montre le plus souvent en dessous de tout, inapte en matière d’interception du vrai.

 

Le texte ci-joint écrit par Martine Boulmant en dit long sur notre incapacité à diriger le Ressenti sans ériger une analyse a-posteriori à l’action visée en complet décalage avec ce qu’il advint réellement d’une situation.

 

A l’époque, j’appuyai sa position lorsque je lus les lignes écrites de sa main, le dimanche 12 Août 2007, alors qu’elle fustigeait à demi-mot une personne qu’elle rendait responsable du brusque mal-être encaissé par Jean-Claude Pantel lors d’une journée passée en sa joyeuse compagnie dans la Nièvre.   

 

De son côté, la personne incriminée accusait à son tour Martine et ses amis, les rendant responsables de l’état de spleen soudain dans lequel était plongé Jean-Claude Pantel.

 

Quelque 14 jours plus tard, l’intervention de Karzenstein le 26 Août 2007 remit très vite les pendules à l’heure.


Le chagrin passager de Jean-Claude était en réalité un « excès de compassion » provoqué par le dérangement d’un nid d’abeilles occasionné par les VET au moment même où Jean-Claude rejoignait la personne de Chantal sur le lieu du rendez-vous donné.

 

Certes, il me souvient d’une lettre écrite par Jean-Claude à Virginie dans laquelle il plaignait l’herbe foulée sous ses pieds d’être venue pousser ici-bas.


Mais nous n’avions jamais réalisé jusque-là ô combien la souffrance animale sapait au quotidien l’édifice branlant de ses préoccupations…


Totalement décontenancé face à tant de « commisération » éprouvée envers le malheur d’autrui, sentiment dont nulle part nous ne sommes censés trouver l’équivalence, doit-on s'attendre au jour où l'on verra Jean-Claude souffrir avec son égal en la « personne » du…Minéral ?

 

 

 

Nievre---Copie.jpg

 

Nievre2.jpg

 

 

Nievre3---Copie.jpg

 

 

NB : Pour récupérer la page à l'endroit, vous n'avez qu'à l'enregistrer sous vos documents ou sous vos images et puis l'insérer dans un traitement de texte.

 

 

Karzenstein 26 Août 2007

 

Texte non archivé sur Jantel.org

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20 septembre 2011 2 20 /09 /septembre /2011 16:40

Le déploiement de ce précédent Cyclique lequel devrait se clore (si l’on en croit les VET qui l’ont circonscrit à quarante et un siècles après l’explosion minoenne du Santorin), aux alentours du 24ème siècle de notre ère, verra peu à peu les modifications de notre mode de procréation actuelle in-vivo évoluer vers une fécondation in-vitro systématique débouchant sur un inévitable clonage.  

 

On ne parlera plus dès lors de « bébé-éprouvette » que dans la mesure où le développement de l’embryon sera assuré à 100 % en dehors de la matrice utérine en fonction de l’ectogenèse (1) si chère au « Meilleur des Mondes » d’Aldous Huxley.

 

Cette forme de reproduction en champ contraint, et dont on devine déjà les prémices à travers le concept « d’utérus artificiel » (2) imaginé par le médecin philosophe Henri Atlan (3), débouchera tôt ou tard sur ce que Karzenstein surnomma, dans le Texte du 23 Juin 1999, un « Tubicolisme pluricellulaire », et qu’Elle représenta sous l’aspect « d’un vase clos » (4).

 

Il va sans dire que, consécutivement à notre dégéométrisation, cette modification physique (5) une fois parachevée, laquelle confine l’avènement de nos re-vies à l’exigüité non naturelle d’un espace tubulaire décrié par Jean-Platania dans son Exégèse (5), ne changera rien à la limitation que constitue la géométrie dans l’élaboration du Faire-corps qui nous fit et nous fera toujours défaut.

 

Seulement, cette mutation chromosomique, donnant essor à des cas d'individuations de plus en plus stériles jusqu’à leur « asexuation » définitive, nous donnera tout de même l’occasion, au sortir d'un gigantesque chaos ambiant, désespérer un avenir qui, s’il ne se montre pas meilleur, ne pourra en aucun cas se montrer pire. 

 


 

(1)  http://fr.wikipedia.org/wiki/Ectog%C3%A9n%C3%A8se

 

(2) http://fr.wikipedia.org/wiki/Ut%C3%A9rus_artificiel

 

3) Henri Atlan, L'Utérus artificiel, Paris, Seuil, coll. « La Librairie du XXIe siècle », 2005.

 

4) Karzenstein : « L’imparable advint : ne sachant gérer convenablement la coordinence de sa "réadaptabilité massique" au coeur d’un "conjoncturel" comprimé de la sorte par "l’accélération spiralienne", l’espèce qui nous intéresse entreprit de remplacer peu à peu son originel exogénisme fondé sur les multiprojections convergentes des cellules propres à la reviviscence en champ libre, par ce que nous définirons tel un "tubicolisme pluricellulaire", soit une "colligération" en vase clos d’éléments constitutionnels, émanant du suspensif... »

(5) Notons que cette transformation a été déjà vécue, durant un assez lointain passé, par l’Androgyne; Karzenstein, Mars 1983  : « Une fois dégéométrisés, vous subirez votre mode de procréation différemment mais votre modification physique, déjà vécue "androgynalement", portera ses propres limites… »

6) Exégèse, Chapitre 3, L’Androgyne. 

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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 19:01

Si nous connaissions déjà les complexes théorisés par Sigmund  Freud, notamment celui d’Oedipe, ceux de Gaston Bachelard  comme par exemple le complexe d’Empédocle, de Prométhée ou bien encore de Novalis, en revanche personne ne connait à ce jour ce complexe humain réel, lié à la palingénésie de sa condition multimillénaire, que l'on nommera pour l’occasion Complexe de Frankenstein.

 

Mais revisitons rapidement le roman publié par Mary Shelley en 1918 : « Frankenstein ou le Prométhée moderne ».

 

Le monstre qu’a créé Victor Frankenstein est au départ un être sensible qui découvre très vite en lui, à l’image d’un enfant candide, un désir d’éveil très prononcé ainsi qu’un fort goût de l’apprentissage, le tout sublimé par une grande sympathie pour l’Autre.  

 

Mu par une bonté naturelle au demeurant émouvante, il découvre hélas peu à peu en lui, malgré son aspiration initiale au bien, le mal et la méchanceté qui le dévorent de l’intérieur et que lui révèle alors le contact brutal et violent avec les êtres humains.

 

Une seule raison à cela : Son créateur, Victor Frankenstein, donna la vie à son homoncule en cousant ensemble avant de les galvaniser à l’aide de la foudre, les membres épars, dans un état de quasi-décomposition, de multiples criminels condamnés à mort dont il dépeçait, en catimini car une fois la nuit tombée, les cadavres encore chauds.

 

Depuis Octobre 1984, nous avons appris grâce à la très haute Entité Karzenstein que « La souffrance est, [à son apogée], (…) l’incapacité réalisée par [n]otre esprit de ne pouvoir réaliser ce que l’idée de ses aptitudes, en les reviviscences qui l’habitent, lui propose. »

 

Les Cellules Mémorielles, autrement dit le patrimoine reviviscent, prédéterminent tout ce que nous entreprenons durant une vie consciente.

 

Même si il y a en effet bel et bien une Marge de Manœuvre envisageable (1), la théorie neurologique de la plasticité du cortex cérébral montre très vite ses limites quant à cette incapacité dénoncée par l’Être de Lumière à nous réaliser en fonction des limitations d’un programme ambiant – donc cellulaire -  qu’imposent, dès notre naissance jusqu’à la rupture, nos réelles compétences mémorisées via nos précédentes existences, en marge des ambitions velléitaires du cogito.

 

Déjà Jésus en croix disait, il y a plus de deux mille ans : « ils ne savent pas ce qu’ils font ».

 

Depuis toujours, notre humanité désire évoluer, mais hélas ! elle n’est que la monstruosité « recomposée » d’innombrables cerveaux et organes hérités de vies antérieures durant lesquelles mille turpitudes finirent par imprimer à sa « décrépitude  cellulaire » cette croyance « grâce » à laquelle « elle se perpétue en s’estimant indispensable alors qu’elle n’est qu’utile, à l'image d'autres espèces qui ont pourtant disparu il y a déjà bien longtemps ».» (D’après les VET).

 

A qui la faute, si ce n’est à notre unique aïeul « l’Homo Androgynus », lequel, en voulant s’improviser apprenti sorcier durant le pénultième Cyclique (2), dans sa tentative de ce qu’il croyait être l’élévation, scinda en deux genres ce qui ne représentait « qu’un » au départ ? (D’après les VET).

 

 Aussi naquit naguère le fruit de cette seconde nature (Karzenstein) que nous personnifions tous, ajoutant, depuis une heure assez tardive de la préhistoire (3), une énième « scissiparité »,  à la longue liste déjà existante des « Homo Fissiparitus » qu’incarna la branche des Hominidés qui ne nous précédèrent pas en tant qu’ancêtres, mais ne firent qu’accompagner et provoquer la « chute » de l’Androgyne en raison d’un très lointain cousinage.

 

Décidément, l’enfer se veut vraiment pavé des meilleures intentions et, comme on dit vulgairement en Provence : « Minja le Boun Diou è caga le diable ».  

 



(1) Leitmotiv Pantélien.

 

(2) Cyclique ayant précédé le dernier Cyclique ayant concrétisé le passage d'existence civilisée des Atlantes à l’état de Vie d’Espèce (Fluidique) définitive :

 

« Votre espèce humaine parvint, durant cette ère, à l’apogée de son qualitatif "expressionnel" et, pas plus que ne se dessinait la disparition de l’androgyne lors du précédent cyclique, ne se pressentit la mue involutive qui capta l’humanité géométrisée à laquelle vous appartenez quand survint le terme du dernier cyclique, celui où nous consommâmes la rupture physique en la delitescence. » (Karzenstein, 23 Juin 1999).

 

(3) NOTA BENE : Contrairement à ce que j'ai pu affirmer sur Jantel.org, la branche androgynale n'a pas rompu avec la fragmentation et la dérive en continents épars de la terre unique la Pangée, mais a réussi a contrario à se conserver parallèlement au type « Anthropopithecus » ainsi qu'au type « Homo » au moins jusqu'au Pléistocène. Nous y reviendrons bien évidemment.


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