24 juin 2011
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EPILOGUE
Depuis ces flambeaux d'or que meut l’Espace Vide,
Voyagé d’un Faisceau comme un astéroïde,
Me voilà surnageant, juste après un gros "splash !"
Une onde cérulée, loin du plancher des vaches !
Or ne reconnaissant, pitoyable déroute,
Aucuns astres connus en la céleste voûte,
Ma conscience saisit qu’elle ne fut, surfaite,
Sur "l'Océan Jantel", qu'une humble vaguelette !