XXV
Ô Jean-Claude Pantel ! A travers ces couloirs
Où ton vol m'a conduit, me reste-t-il à voir
Bien des choses encore, eu égard au vertige
Qu'inspire ton "Reçu" loin de ce qui te "fige"...
Comme, en ville, on emprunte un métro en sa rame,
Vois que ce Flux, lové tout de "flots" et de "flammes",
M’apprête son "cockpit" telle une "fusée" qui
Traverse du Cosmos les cités évanouies !
Plus rapide, et de loin, que l'astrale lumière,
Je transperce, un par un, les systèmes stellaires,
Sans en heurter aucun, "magie" des Particules !
Là, redevenant homme, ô piteuses cellules !
S’écrase en mer mon corps criant devers le ciel :
"Gloire à la Syzygie Spatio-temporelle !"